Dans le cadre de l’Ecole thématique “LiDAR et géophysique” organisé par Alain Dabas et Pierre Flamant (CNRM, Centre national de Recherche météorologiques), Clément Laplaige a été invité à présenter les applications du LiDAR dans le domaine de l’archéologie, notamment à partir des travaux menés dans le chantier CHEF.
Cette école d’été est à destination des chercheurs et ingénieurs issus du monde industriel et spécialisés dans l’utilisation et la conception de LiDAR atmosphériques. Elle se déroule du 6 au 12 septembre 2015 à Aspet dans les Pyrénées.
L’intervention de Clément Laplaige a consisté à présenter les différents types de structures archéologiques repérées et la manière d’intégrer les données LiDAR dans des problématiques archéologiques.
Depuis 1993 jusqu’à 2011, la publication des actes de Théo Quant a été l’occasion pour les participants aux Rencontres de proposer des articles scientifiques. Cependant, au fil du temps, la priorité donnée aux articles de revues est devenue plus importante et l’intérêt des actes pour les participants a diminué. C’est pourquoi depuis 2013, les Rencontres de Théo Quant focalisent sur l’événement lui-même, sans publication des actes.
Joanne Hirtzel soutiendra sa thèse de doctorat en géographie et aménagement, intitulée “Exploration prospective de mobilités résidentielles dans une agglomération urbaine au moyen d’un modèle de simulation multi-agents (Mobisim-MR)”, le lundi 9 février 2015 à l’Université de Franche-Comté.
La rencontre internationale TRAIL s’est déroulée du 26 au 28 mars à Frasne (Doubs). Elle était consacrée à l’étude des données LiDAR (Light Detection and Ranging) sous couvert boisé. La technologie LiDAR permet en effet de générer des modèles altimétriques du terrain, d’une précision centimétrique y compris sous couvert végétal. L’acquisition et les traitements des données LiDAR se sont multipliés ces cinq dernières années, dans l’espace européen, livrant une quantité sans précédent de découvertes archéologiques inédites sous forêt. Depuis 2009, la Franche-Comté compte parmi les cas d’étude emblématique du réseau européen Archaeolandscape, grâce à une acquisition de données Lidar d’une grande précision (8 points / m2) financée par la Région et au développement d’une méthodologie intégrée de détection et de prospection archéologique.
